Dans la province de la Mongala, dans le nord de la RDCongo, une communauté locale s’oppose à une société chinoise d’exploitation de bois.
Les habitants réclament de la société la signature d’un cahier de charge et des garanties que cette dernière sera scrupuleusement respectée par la société chinoise Congo King.
Les exploitants miniers et forestiers opérants en RDCongo sont soumis, par la loi congolaise, à signer un accord avec les communautés locales dans lequel ils s’engagent à construire des structures sociales en faveur de la population.
L’absence d’un tel accord est souvent à la base des tensions entre les populations locales et les sociétés exploitantes.
Les exploitants chinois étant souvent pointés du doigt pour leur exploitation sauvage en violation des normes environnementales, la société civile et les communautés locales congolaises sont devenues de plus en plus regardantes et souvent hostiles à leurs opérations.
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