La forêt de Casamance dans le sud du Sénégal est en proie à un trafic de bois rares qui atterrissent en Chine.
Alors que le Sénégal a interdit l’exploitation de ces bois, les trafiquants souvent armés, coupent les bois de rose dans la forêt de la région et les expédient en Chine.
Au Sénégal comme ailleurs en Afrique, le trafic du bois de rose est alimenté par la grande demande chinoise. Dans le cas du Cameroun, des chinois étaient pointés du doigt dans le financement de ces opérations à partir du Nigéria.