Dans le nord de la région d’Ashanti, le chef traditionnel de Kwapia demande l’intervention du gouvernement central pour mettre fin à la présence des mineurs artisanaux illégaux chinois.
Il dénonce le fait qu’ils mènent leurs exploitations illégales sur des terres réservées pour l’éducation, mettent en danger la vie des habitants et qui pourraient avoir de graves conséquences sur les communautés. Il dénonce aussi le fait que certains d’entre eux possèderaient des cartes identités ghanéennes.
En Mai et juin 2021, le gouvernement avait lancé une opération anti Galamsey (le nom local donné à ces exploitants illégaux) et qui avait conduit à l’arrestation de plusieurs chinois.
Une année après, outre la défaillance des structures étatiques, leur retour tend à créditer les accusations de complicité des membres du parti au pouvoir dans ce phénomène.
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