En tournée de trois jours en Algérie du 25 au 27 août dernier, le président français Emmanuel Macron a accusé la Chine ainsi que d’autres pays, Russie et Turquie, d’avoir des visées impérialistes et néo-coloniales en Afrique.
Il réagissait au sentiment anti-français qui emerge sur le continent dans les anciennes colonies françaises. La situation au Mali est symptomatique de ce sentiment anti-français.
C’est dans ce contexte que la Chine gagne du terrain. Et c’est cette poussée chinoise que Macron a voulu fustiger en Algérie.
En Algérie, la Chine est très présente dans ses investissements dans le secteur minier, pétrolier et dans la sécurité.