Le commerce a repris de plus belle depuis que la haute cour de justice kenyane a reautorisé, en 2021, l’abattage d’ânes, mettant ainsi fin à l’interdiction imposée depuis 1999.
Une interdiction qui n’avait cependant pas empêché le trafic de peaux d’ânes, prisées en Chine pour leur propriété médicale et application cosmétique, de prospérer.
Et depuis la levée de l’interdiction en 2021, des chinois ont installé des abattoirs dans le pays. Le commerce est soutenu par une demande croissante de la Chine et d’autres pays asiatiques.
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