Les ONG et la société civile sénégalaises sont préoccupées par l’avenir du Fleuve Falémé qui sépare le Sénégal du Mali.
L’orpaillage, qui a remplacé l’activité agricole, attire des milliers d’exploitant venant des régions voisines et du Mali.
De tous ces exploitants, les orpailleurs chinois sont les plus décriés par les populations locales: « Ce sont les Chinois qui font les actions les plus pernicieuses sur le fleuve car ils coupent même le fleuve pour leurs opérations de dragage. Quand ils terminent quelque part, ils migrent ailleurs sans même daigner dégager les barrières de sable qu’ils ont installées ».
C’est depuis plusieurs années que les autorités sénégalaises tentent de mettre fin à l’orpaillage illégale menée par des exploitants chinois, malheureusement comme un peu partout ailleurs sur le continent, elles ne remportent que très peu de succès.
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