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La demande chinoise fait grimper les statistiques du braconnage en Namibie

La demande chinoise fait grimper les statistiques du braconnage en Namibie
Une photo prise le 4 mars 2007 montre un rhinocéros dans le parc national d'Etosha, en Namibie. BRIGITTE WEIDLICH / AFP

Le ministère Namibien de l’environnement a publié son rapport annuel sur les chiffres du braconnage dans le pays pour l’année 2022. En tête de liste, on retrouve la Chine et le Vietnam dont la demande en cornes de rhinocéros fait grimper les statistiques du braconnage dans le pays. C’est dans le plus grand parc national du pays, Etosha, que se passe le plus grand nombre d’acte de braconnage où 87 rhinoceros ont été tués en 2022.

Pourquoi c’est important: Les rhinocéros sont l’une des espèces les plus menacées au monde et la Namibie est devenue un bastion pour les rhinocéros en Afrique, avec la plus grande population de rhinocéros noirs et la deuxième plus grande population de rhinocéros blancs de toute l’Afrique. Avec la pandémie du Covid-19 les actes de braconnage avaient sensiblement baissé au point d’atteindre leur niveau le plus bas au cours de la dernière décennie.

Plus de détails à lire sur Save the Rhino (en anglais)

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