Les compagnies chinoises en Afrique sont souvent accusées de violations des droits de l’homme, la plupart du temps liées à des violations du droit du travail.
Au Lesotho, ce sont les accusations d’harcèlements sexuels sur des employées locaux par des superviseurs chinois de la compagnie Qingjian Group (CNQC) qui exécute le projet routier controversé qui relie Mpiti à Sehlabathebe, qui ont intéressées les journalistes d’investigation Sechaba Mokhethi, Pascalinah Kabi et Billy Ntaote.
Leur enquête a entre autre révélé une complicité entre les autorités locales et les dirigeants de l’entreprise afin de taire les différentes plaintes des victimes.
Des cas similaires d’accusations de harcèlement sexuel d’employés locaux par des surperviseurs chinois ont déjà été répertoriés au Nigeria et en République Démocratique du Congo.
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